Laluette Comme toi j ai eu une petite metisse mais elle a juste le nez de son papa pas son teint. J espere que sa s arrangera avec ton homme on se suit sur le forum depuis le début nous avions eu notre ovulation quasiement en meme temps et tu as accouché avant moi au final !
Elixirbasse Merci pour tes explications
Les filles si ceci vous interresse je vais vous raconter l histoire de mon tire allaitement; C est sur si j avais pu donner le sein je l aurai fait bien volontier sa evite la sterilisation le temps à tirer et surtout le bruit de la pompe (qui endore ma fille d ailleur)
Physiquement j ai toujour ete sensible des tétons sa n a jamais ete une zone erogene au grand desepoire de mon cheri! Quand je suis tombé enceinte l idée de l allaitement me trotait dans la tête je me disai que sa allai endurcir mes tétons sensible. Bien que depuis mon 1er cri j ai ete elevé au lait en poudre ainsi que mon conjoint, ma famille et amis etaient étonnés que je veuille allaité (du moins essayer) et mon homme sa le fesai bien rire "Quoi ! un gremlins qui va te téter! alors que moi je peut meme pas les toucher! je demande a voir"

A 3 mois de grossesse j ai un téton qui a commencer a faire des crevasses, apres conseil de la sage femme je me badigonnai matin et soir de creme lasinoh et assistai au cours sur l allaitement. Personne ne m a parlé de mastose ni d engorgement ni de sevrage. C est bien dommage car j aurai reflechit a deux fois avant de me lancer dans cette aventure.
Puis ma fille est née ! Une sage femme m a proposé de faire la tétée de bienvenue. A ce moment la j etais pleine de determination et d amour pour mon bébé; A peine ma fille avais commencer que la douleur m envahi. Je ne comprenai pas;;; Pendant 3 jours j ai souffert, ma fille tétai de + en + fort et moi j avais un mal incontrolable. Bilan je la retirai (un peu violament) de mon sein douleureu et elle? Et bien elle avait tres fin. J appelai toujour la sage femme en larme pour quelle m aide a mettre ma fille au sein correctement mais meme avec la meilleur volonté, sans stréssé, j etais incapable de tenir + de 5 min. Je suppliai un tire lait je ne voulai pas abandonner.
Le 3 eme jour j ai enfin eu le fameux tire lait une sage femme avais eu le meme probleme que moi et voulai sauver mon allaitement.
Je tirai donc mon lait toutes les 3 heures sans relache et le 5 eme jour, jour de ma sortie, ma montée de lait est enfin arriver.
Mais il etait hors de question pour moi de remettre ma fille au sein, j avais eu trop mal, et de + pendant mon sejour les SG voulais toujour savoir combien ma fille avait bu (elle avait perdu 300 g ) du coup avec les biberons c etais quantifiable, pas avec les tétées;

Les SG m avaient prevenu, "Si vous ne remettez pas votre fille au seins, vous ne tiendrez pas le coup et elle le refusera"; Deux semaines passairent et j etais acharnée avec mon tire lait, c etais devenue une obssession, remplir les 7 biberons de 90 ml que ma fille voulait; Et sa jour et nuit, dès qu elle s endormai, je mangai sur le pouce mais correctement histoire que mon lait soit de bonne qualité.
Puis au bout de 2 semaines ma fille s eST mise a pleurer, inconsollable, bon en meme temps on avait l habitude elle pleurai beaucoup et dormai peu (comme beaucoup de nouveau né) je venais pourtant de lui donner son biberon mais sa fesai 2 heures et pas eu le temps de faire le tire lait... Vu que mes seins, dès que j enlevais le soutif le lait jiclais (desoler du detail) j ai tenté de mettre ma fille au sein et la le miracle se produisit : elle a tété sans me faire mal pendant 10 minutes (et s endormi). Je me suis dis Genial, les efforts on fini par payer...
Mais le lendemain, au lever, une immense douleur me pris sur mon sein gauche (le crevassé), de la fievre , des etourdissements, je ne comprenai pas ce qui m arrivai surtout que j avais fait le tire lait le soir mais j avais espacé de 5 heures au lieu de 3 (trop epuisé) je ne pouvai meme pas prendre ma fille. Je fonce sur le tire lait ppour me soulager de se sein dure comme de la pierre. Aucune goutte ne sorti et le mal m envahissai de + en +. Mon homme me donna un doliprane et je m endormi profondement SA ME CALMA UN PEU. Comme j avai eu une cesarienne , un dame de la PMI passai se jour la pour peser ma fille, je lui dis que j allai prendre rdv chez le medecin et la elle me dis "vous faite un engorgement" tirer votre lait, masser vous dans de l eau chaude et sa toute les 3 heures sans relache. Je me suis donc executer pendant 2 jours j ai eu mal puis mon sein est redevenu soupple. Ma Lila depuis refusai mon sein et moi sa m arrangeai, je soupsonnai la tétée de m avoir engorgé lol.
Pendant un mois et demi j ai tirer mon lait toutes les 4 heures et tout les 5 jours j avais des engorgements, des boules dans les seins, seul un dolipranne pouvais me calmer, si j espacai de 5 heures le tire lait un nouvel engorgement je recevai...
Tout cela me fatiguai, seul la satisfaction de nourrir ma fille "seinement" m aidai a tenir. Immaginer que chaque petit moment de detente j en profitai pour tirer lol. J ai fait mon burn out un jour où mon cheri et moi allions au cinema, comme toujour j avais fait le tire lait avant de partir. Et pendant la seance mon sein est redevenu dure mais surtout douloureux et réengorgement une fois de +...
Je savai qu il existai un medicament qui permettai d arreter les monter de lait, mais que pendant 2 jours il fallait laisser les seins s engorger, j ignorais comment j allais tenir vu mes antécédents.
J ai pris de l homeophatie pour les engorgements (sans grand effet) puis petit a petit j ai diminuer le tire lait, grace a vos conseil. Aujourd hui je tire une fois par jour mon lait soit 200 ml (sa fait le bib de 3h30 pour ma fille)
Depuis que j ai pris cette decision, je suis beaucoup plus sereine, patiente, et ma fille pleure beaucoup moins.
Je fais parti de ses gens qui ne peuvent pas allaiter au sein, trop douloureux, car avant de renoncer, j ai essayer multiples positions.
vOILA j ai amorti mon nouvelle ordi, je vous ai battu niveau roman! Maintenant vive le lait artificielle, car meme si les bib sont long a preparer, j ai retrouvé une certaine liberté et surtout la forme