Ne pas être déçue des autres… ne pas en attendre plus que cela non plus… comment veux tu qu’une femme qui a enfanté facilement / naturellement, ou qu’une autre qui n’a pas ce projet, mais alors pas du tout, comprenne le besoin qu’on a de se faire autant de mal…helinie a écrit : Les seules oreilles attentives seront effectivement les votres car autour de moi personne ne semble comprendre !!
Admettre leur incompréhension est peut-être le plus beau pied de nez…
Moi, je n’ai pas voulu du RDV quotidien avec l’infirmière… je ne suis pas malade… elle a « formé » chéri et est venue le superviser le temps qu’il se sente à l’aise et à chaque changement de produit… il faut bien qu’il m’aide un peu pour faire notre bébé !!!... étant à 150 km du centre PMA qui nous suit, il a été absent pour pas mal des exams et 2 des 3 transferts… c’est sa façon d’être présent… et jamais j’ai pensé qu’il pouvait avoir mal fait…helinie a écrit : Autres questions les filles, comment vous appréhendez votre suivi à concilier avec le boulot ? est-ce que comme moi à chaque échec vous ne vous dites pas que vous en avez peut être trop fait, que vous auriez du vous reposer, etc... est-ce que vous faites vos injections vous même ?
Sans être sure de recommencer, je me demande si sur le prochain cycle je ne vais pas me mettre en arrêt durant toute la durée des injections et les faire faire par une infirmière car j'en suis venue à me dire que c'est peut être parce que je ne fais pas bien que ça ne fonctionne pas ??
Avant la ponction, j’ai travaillé car j’arrivais avec des RDV de contrôle très tôt à concilier tous les impératifs. Mais mon retour de FIV1 s’est tellement mal passé (+ le bordel qu’à mes retours de congés alors que mon état était connu de mon hiérarchique direct), qu’après les transferts 2 et 3 j’ai demandé un arrêt jusqu’à la prise de sang. Pour la dernière, je pense que je prendrai un congé pour la semaine de stim de sorte de me faire suivre par les gynécos de mon centre PMA (chance mes parents habitent pas très loin c’est au moins ça !!!).