le kama sutra de notre grossesse

Augmentation du desir, perte du désir, les positions idéales pendant la grossesse.
Avatar du membre
jujuchuchu
Top fraise
Top fraise
Messages : 260
Enregistré le : 14 avr. 2008, 16:17
Localisation : alsace
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

coucou les filles!
je suis d'accord avec vous pour dire qu'il faut être imaginatif!
moi j'aime beaucoup la voiture on ne la fait qu'une seule fois mais nous en gardons un très bon souvenir et très excitant :-D !
mais maintenant avec mon gros bidon nous avons un peu de mal surtout que mon mari est un éjaculateur précoce donc j'ai tout le temps envie de lui mais vu que notre première relation dure environ 15seconde rien que d'y penser mon envie se coupe!
il me dit qu'il en souffre et qu'il veut consulter un sexologue mais il ne fait rien!
j'ai tellement besoin de son corps de son odeur et de ses caresses surtout en se moment!
je suis désespérer surtout que je passe mes journées toute seule et à devoir me reposer et ne rien faire!je souffre beaucoup de cette solitude alors le soir quand mon homme rentre j'ai besoin de le sentir donc je passe le plus de temps possible à ses côté mais bon son corps me manque quand même!
:bisou: juliana

Avatar du membre
mamansev
Top fraise
Top fraise
Messages : 853
Enregistré le : 08 août 2008, 16:05
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

Pour moi, début du 7ème mois, et je trouve que par derrière y'a rien de mieux.... D'ailleurs même pas enceinte je trouve ça top alors....

:bisou: :bisou: :bisou:

Sev.
Deuxanges
Première fraise
Première fraise
Messages : 13
Enregistré le : 13 nov. 2008, 12:03
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

Salut les filles qd vous dites par derrier vous parler de levrettes ou de sodomie
:grattelatete:
Image

[glow=red][align=center]Lui 29 ans Moi 27 ans
Ensemble depuis 10 ans et mariés depuis 7 ans
Ma première 5 ans
Mon deuxième 4 ans
Et le dernier c pour Juillet[/align][/glow]
Image
Avatar du membre
mamansev
Top fraise
Top fraise
Messages : 853
Enregistré le : 08 août 2008, 16:05
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

:sltange:

Pour moi par derrière c'est levrette!!!! La sodomie c'est pas mon trip!

Sev.
Avatar du membre
ouanassaines
Top fraise
Top fraise
Messages : 276
Enregistré le : 24 mai 2008, 11:04
Localisation : tarn castres
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

:hello:

moi je suis comme toi sev je trouve c'est la meilleur position :oops:
Deuxanges
Première fraise
Première fraise
Messages : 13
Enregistré le : 13 nov. 2008, 12:03
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

Ok ça me rassure,je ne pratique et je n'ai jamais pratiquer la sodomie,pour moi c contraire à la nature
J'ai essayer la levrette y a deux jours mais ca me faisait un peu mal :pleure:
Je raessaierai plus tard qd le bidon sera enorme :gateaunoel:
Image

[glow=red][align=center]Lui 29 ans Moi 27 ans
Ensemble depuis 10 ans et mariés depuis 7 ans
Ma première 5 ans
Mon deuxième 4 ans
Et le dernier c pour Juillet[/align][/glow]
Image
Avatar du membre
ozoas
Fraise d'argent
Fraise d'argent
Messages : 6104
Enregistré le : 27 nov. 2008, 13:58
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

salut
Perso la levrette c le top j'adore!
La sodomie ( puisque vous en parlez) j'ai essayé et si le mec si prend bien ca peut être kiffant mais je la pratique rarement quand même lol
Avatar du membre
Jodhaa
Messages : 8
Enregistré le : 10 févr. 2009, 18:51
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

[font=Comic Sans MS]Positions, en veut-tu en voilà...faites votre choix les filles...testez-en une et partagez votre avis =D

L'union du lotus
Assis par terre ou sur un lit, l’homme replie ses jambes, cuisses écartées, et colle ses plantes de pieds l’une contre l’autre. Sa compagne s’assied sur lui, de face, les cuisses sur celles de son partenaire, les jambes serrées autour de la taille de celui-ci, les pieds posés au sol ou sur le lit.

La levrette
Certaines femmes n’aiment pas tourner le dos à leur partenaire, ne pas le voir, ne pas l’avoir sous les yeux ; d’autres apprécieront au contraire d’être libérées du regard de l’homme, surtout s’il a l’habitude de scruter leur visage pour y repérer les signes de l’excitation. Elles peuvent ainsi se laisser aller plus facilement, s’abandonner à leur plaisir sans se demander comment celui-ci se lit sur leur visage. Sans le "face à face", elles peuvent parfois se concentrer davantage sur leur excitation sans être distraites par le regard de l’autre.

La position d'Andromaque
Aujourd’hui les sexologues conseillent cette position à tous les "apprentis-amoureux", aussi bien aux femmes qui désirent découvrir l’orgasme pendant la pénétration, qu’aux hommes qui veulent apprendre à maîtriser leur éjaculation.

Une femme qui ne parvient pas à l’orgasme lors du rapport peut choisir de caresser son clitoris. Attouchements effectuées pendant la pénétration, qui lui permettront d’obtenir le plaisir recherché. C’est dans ce cas la possibilité de se caresser pendant l’acte sexuel qui rend cette position intéressante : elle est plus favorable aux caresses que celle du missionnaire, mais pas plus que la position où l’homme est dans le dos de la femme. En tout cas, d’après certaines enquêtes, cinquante pour cent des femmes européennes jouissent, pendant la pénétration, grâce aux caresses.

La position du "missionnaire"
L’homme est couché sur sa partenaire : cependant, habituellement, pour ne pas l’écraser, il ne se laisse pas aller de tout son poids, mais prend appui sur ses coudes et sur ses genoux. Le plus souvent, les jambes de l’homme sont entre celles de la femme, qui sont légèrement pliées. La femme cherche à obtenir le meilleur contact entre son clitoris (ou la région clitoridienne) et le pubis de son partenaire afin d’avoir, pendant les mouvements, la stimulation génitale la plus efficace. Pour cela, elle peut être amenée à plier davantage les genoux, ou à les ramener vers ses épaules, à placer ses jambes sur les épaules de l’homme ; ou encore à entourer le tronc de l’homme avec ses jambes, en joignant les pieds dans son dos.

La position du bateau ivre
Au bord du lit, Madame s'allonge de manière à laisser ses jambes flotter dans l'air. Couchée sur le dos, elle se laisser aller au bon vouloir de Monsieur. Celui-ci s'agenouille au bord du lit, soulève et écarte les jambes de son amante en lui tenant les chevilles. Dirigeant les opérations, il pénètre la femme et domine largement le va-et-vient.

Commence alors la meilleure partie du jeu sexuel. Tel un capitaine devant son gouvernail, il peut décider de pencher sa partenaire d'un bord à l'autre. Les sensations, au niveau du vagin, s'accordent à celle ressenties par le mouvement. Elle se sent prise comme un navire en mer, subordonnée au moindre caprice des flots. Emportée par un vertige délicieux, elle ne peut cependant oublier la pénétration profonde et très relaxante qu'elle ressent. L'homme, lui, profite d'une large vision de sa partenaire et veut se croire maître de la situation. Il ralentit ou accélère le va-et-vient et peut changer l'inclinaison du bassin de la femme ou l'angle des cuisses. Si cela est nécessaire, un coussin placé sous les fesses de sa partenaire peut servir à faciliter la pénétration.

Les petites cuillères
La femme et l’homme s’allongent sur le côté, l’homme dans le dos de la femme, qu’il pénètre vaginalement. Si l’homme se plaque contre le dos de sa compagne, l’image de deux petites cuillères emboîtées est évidente.

Cette position présente de grands avantages : comme les deux partenaires sont couchés confortablement, ils peuvent prendre tout leur temps, l’une pour s’abandonner, l’autre pour caresser et embrasser. Les mains de l’homme atteignent les seins, le ventre, le sexe. S’il s’écarte un peu, il peut caresser le dos, les reins, les hanches, les fesses.

N’étant pas contraint à un va et vient rapide pour occuper le temps, l’homme peut profiter de cette position pour s’entraîner à maîtriser son éjaculation : grâce à des mouvements lents doux, ne provoquant qu’une excitation faible, il habituera son organisme aux sensations vaginales. Dans cette position où l’on peut prendre son temps pour jouer avec des nuances de sensations, l’apprentissage est possible, alors qu’il est difficile dans d’autres où l’excitation est plus vive.

Les femmes qui aiment cette position parlent de leur plaisir à se laisser faire, à sentir leur corps se détendre progressivement sous la main de l’autre : elles ont le temps de se vider de leurs soucis quotidiens, se trouvent plus libres de se concentrer sur leur excitation, et de sentir leur désir les envahir peu à peu.

Certaines, cependant, n’aiment pas tourner le dos à leur partenaire, ou, au bout d’un moment, ont envie de passer à l’action, de caresser et d’embrasser à leur tour, de se frotter contre le corps de l’homme. Cette position est donc en général une étape, au début du jeu amoureux. Elle peut être aussi amenée par l’obésité de l’un des deux ou la grossesse de la femme.

Les vignes enlacées
La position de pénétration, allongés sur le côté, face à face, permet quelques variantes intéressantes. La femme et l’homme ont le choix de s’enlacer, afin de serrer leurs poitrines l’une contre l’autre, de s’embrasser le visage, de se caresser le dos et les fesses, ou, au contraire, de s’écarter légèrement, et de se caresser la poitrine et les seins, ou de s’embrasser sur le haut du buste.

Pour les jambes, elles peuvent rester allongées, rendant la pénétration moins profonde : mais le resserrement de ses cuisses offre à la femme, au niveau des lèvres et du clitoris, des sensations qui se renforcent vite avec les mouvements du bassin.

Cependant, certaines préfèrent replier les jambes, et entourer la taille de l’homme avec leurs cuisses, l’une sous lui, l’autre au-dessus. La pénétration est différente, la pression de la verge concernera d’autres régions de la paroi du vagin, suscitant d’autres émotions.

On obtient la position des "vignes enlacées" quand l’homme redresse ses cuisses à angle droit et que la femme garde une jambe étendue entre elles, mais relève l’autre, qu’elle fait passer au-dessus de lui, à sa taille. Ainsi les deux corps sont à la fois entourant l’autre et enlacés par l’autre, comme les vrilles de la vigne, ce qui renforce l’impression d’intimité et de fusion.

Ces positions n’ont pas pour finalité première de déclencher l’orgasme, chez la femme ou chez l’homme. Généralement, elles permettent de prolonger les étreintes, de varier les caresses et les baisers, comme les mouvements en harmonie des corps.[/font]
Avatar du membre
Jodhaa
Messages : 8
Enregistré le : 10 févr. 2009, 18:51
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

[font=Comic Sans MS]Si vous aimez être face, les yeux dans les yeux, voici quelques variations faciles à réaliser. Ces positions raviront ceux que la vue du corps de l'autre transporte de plaisir. Des sensations nouvelles au rendez-vous.

Cavalier à la barre
Dans cette position, la femme se couche sur le côté, une jambe allongée sur le lit, l'autre repliée. L'homme s'agenouille à cheval sur la cuisse étendue de la femme ; il redresse l'autre jambe de celle-ci contre son buste, le pied vers son épaule, et la serre d'un bras contre lui. La large ouverture des cuisses permet une pénétration profonde.
Celui qui reste à la maison

L'écrin à bijoux
L’homme, une jambe allongée sur la couche, replie l’autre jambe et la glisse sur la jambe d’appui de la femme, elle aussi allongée ; ils sont ainsi cuisse contre cuisse. La femme soulève la deuxième jambe et la replie de façon à laisser reposer le pli de son genou sur la hanche de l’homme. Ainsi, les deux partenaires, jambes entremêlées dans une position quasi-symétrique, enferment leur sexe dans un “écrin” protecteur.

Quand l’homme pénètre la femme, il le fait doucement, parce que, dans cette position, la vulve est seulement entrouverte et l’entrée du vagin étroite. Il peut continuer de jouer avec son pénis, et exciter davantage le clitoris, en restant aux confins de la vulve, pendant que les bouches s’embrassent et que les bras s’enlacent. D’ailleurs, si l’homme se décale légèrement vers le haut du lit, le contact de sa verge avec le clitoris n’en sera que plus intime.

L'offrande secrète
Il en est ainsi quand la femme prend la position banale allongée sur le côté, avec les jambes bien étendues : il lui suffit de replier la jambe qui n’est pas contre le lit, genou ramené vers la poitrine, pour offrir discrètement son sexe à une pénétration aux sensations originales. L'offrande secrète. L’homme séduit par cette invite se met à genoux, à cheval sur la cuisse étendue, puis se penche en avant pour s’appuyer sur les mains de chaque côté du buste de sa partenaire.

La pénétration se fait donc de côté, et l’effet des frottements pour le vagin comme pour la verge est bien différent de celui que procure une pénétration nettement de face ou de dos. Si l’homme a les bras musclés, il aura du temps pour un va et vient lent et maîtrisé, le plus adapté pour goûter les sensations nouvelles que le couple découvre.

La chaise longue
C'est à la femme de prendre l'initiative. Allongée sur le lit, elle se relève délicatement en prenant appui sur des coussins qu'elle aura préalablement disposés derrière son dos. Son partenaire place ses jambes de chaque côté, entourant ainsi la femme de sa présence rassurante. Elle pourra donc mettre chacune de ses cuisses sur les épaules de son amant. Celui-ci devra prendre appui sur ses mains. La chaise longue est installée.

Limité dans ses mouvements par un tel appui, et par les jambes de son amante, l'homme ne peut que difficilement déplacer son bassin de haut en bas. C'est donc à sa partenaire de diriger les opérations. Elle effectuera les principaux mouvements de va-et-vient, l'homme pouvant, de temps en temps, participer à l'action. Son rôle limité consiste à donner de l'élan à sa partenaire en soulevant le bassin en même temps qu'elle effectue des mouvements enchanteurs.

Ainsi, maîtresse des règles du jeu, la femme décide de la profondeur de la pénétration et de la rapidité des ondulations. Les sensations au niveau du pubis sont décuplées, et le pénis frotte la zone vaginale qui provoquera le plus de plaisir à sa partenaire. La femme pourra, si elle dispose d'assez d'énergie, toucher son clitoris en même temps qu'elle se laisse délicieusement pénétrer. L'orgasme, dans cette position de la chaise longue, est donc à la portée de toute femme énergique. Dans cette position qui peut être éreintante, quelques minutes suffisent pour éprouver très vite un plaisir rare. L'homme saura donc ensuite reprendre les choses en main, changeant de position, afin que, lui aussi, puisse connaître autant de satisfaction que sa partenaire.

La fleur éclatée
Etendue sur le dos, la femme replie les jambes sur son ventre jusqu’à ce que ses genoux s’approchent des seins. L’homme s’agenouille au-dessus d’elle et la pénètre doucement. Les pieds de la femme sont placés de part et d’autre des reins de son partenaire.

Dans cette posture, l’homme, qui n’a pas besoin de ses mains pour maintenir l’équilibre, peut câliner ou contempler comme il le désire le visage, les épaules ou les seins de la femme aimée, ajoutant à l’excitation sexuelle la sensualité de ses caresses et de ses attouchements. La femme, libre aussi de ses mouvements de mains aura plaisir à tenir la tête de son amant, et caresser ses bras ou ses épaules. C’est donc une union très tendre que propose cette fleur éclatée. Le mouvement de va-et-vient stimule le clitoris, grâce aux frottements sur celui-ci de la base du pénis. L’angle de pénétration de la verge la met en contact avec la paroi frontale du vagin, une zone particulièrement sensible du sexe féminin, dont l’excitation pourra conduire la femme à l’orgasme.

La femme, au cours de l’étreinte, exerce, si elle le souhaite, quelques mouvements d’oscillation du bassin dont le rythme sera calqué sur celui de l’homme, dans un “tangage” délicieusement érotique. L’homme, guidé par les manifestations de plaisir de sa partenaire, bouge librement en variant la cadence et la profondeur de la pénétration, puis, se laissant emporter par le flot des sensations, accélère son balancement jusqu’au “bouquet” final.

Le compas
Madame se couche sur le lit mais relève son buste en se tenant sur ses deux mains. Monsieur s'assoit sur elle en prenant soin d'écarter ses jambes tendues pour l'entourer. Il tient son fragile équilibre en posant ses mains sur les épaules de son amante. Dont il peut également se servir pour renforcer son élan et accélérer la cadence. Ainsi positionné, il peut débuter la pénétration. Madame doit donc écarter également ses jambes pour le laisser se frayer un passage vers son vagin. Elle sentira alors le sexe comprimer son point G et le bas ventre de Monsieur frotter son clitoris. Elle peut ensuite refermer les jambes pour donner plus de sensations à son partenaire et emprisonner la source du plaisir.La position du compas, finalement, ressemble à l'instrument du géomètre. Chacun choisit l'angle que prendront ses jambes. Formant une étoile avec leurs jambes, le couple s'unit ici seulement par leurs sexes. Car la position du compas ne favorise pas le contact, si ce n'est quelques baisers passionnés. Pour amateurs de sexe avertis, néanmoins, ce Kamasutra se révèle très original et devient le prétexte pour d'inédits jeux sexuels. La position du compas devient alors une bonne alternative aux souvenirs maudits des cours de mathématiques.

Le lotus renversé
La femme est allongée sur le dos. Cuisses écartées, elle saisit ses chevilles et soulève son bassin, comme si elle voulait faire une roulade arrière. Dans cette position qui exige de la souplesse, il est vrai, son vagin est relevé ; son sexe largement ouvert est prêt à accueillir son partenaire. L’homme pose ses mains de part et d’autre de la tête de sa compagne, s’agenouille au-dessus d’elle et la pénètre alors facilement. Il peut varier à volonté le rythme de son va-et-vient : tantôt lent et en douceur, tantôt plus rapide, il joue avec son pénis comme avec un crayon qui dessinerait les paysages intérieurs et mystérieux du sexe féminin.

Le moulin à vent
La femme s'étend sur le dos, s'appuie sur les avant-bras, la nuque redressée, les jambes légèrement repliées ; si elle le désire, elle place un coussin sous ses fesses, de façon à relever confortablement son bassin et présenter son vagin selon l'angle qui permettra le mieux à son amant d'effectuer une pénétration profonde.

L'homme s'agenouille au-dessus d'elle et guide son pénis à l'intérieur du vagin. La femme lève alors alternativement une jambe repliée puis l'autre, jusqu'à la hauteur des reins de son partenaire sur lesquels elle les repose un instant, faisant "tourner les ailes du moulin", comme on "pédale" lors des mouvements abdominaux dits du vélo ; le battement est régulier et ne doit jamais s'interrompre au cours du coït ; il est accompagné des va-et-vient modérés de l'homme.

Le néophyte
Ici, le néophyte dépose délicatement la femme sur le lit. L'homme la prend par le bassin, elle s'appuie sur la tête et les épaules. Ses orteils touchent à peine le lit. L'homme, en face d'elle, se tient sur les genoux fermement et guide le vagin vers son sexe. Il est le seul maître du va-et-vient ; la femme, dans cette position, n'ayant aucune amplitude de mouvement. De sa position dominante, l'homme peut ainsi admirer sa partenaire mais se retrouve également coincé, limité par l'emprise des bras et la difficulté de la pénétration.

Le tendre amant
L'amante est allongée, jambes écartées et genoux pliés. Son cher et tendre se glisse entre ses cuisses et lui soulève le bassin pour la pénétrer. Il doit pour cela diriger ses jambes vers les épaules de sa femme. Prenant de ses mains la taille de sa partenaire, il élève le corps de sa femme et lui dépose de doux baisers sur le ventre. Si l'exercice est un délicieux préliminaire, l'homme ne peut néanmoins rester indéfiniment dans cette position. Son dos, s'il n'est pas souple, peut bien se retrouver en position lumbago. Les deux partenaires devront donc, si Madame souhaite que Monsieur reste son tendre amant, faire des efforts. En ondulant le bassin, la femme peut varier l'intensité du plaisir et décupler les sensations de Monsieur, car pour le tendre amant, la pénétration reste limitée. Il peut, pour faire de sa partenaire une femme épanouie, approfondir le va-et-vient, permettant de stimuler son point G ainsi que son clitoris par son os pelvien.

En bousculant le quotidien, la position du tendre amant permet également de développer la complicité du couple. Le contact corporel est intense, même si cette position ne permet pas totalement de disposer d'une véritable liberté de mouvement. Elle conviendra donc à ceux qui ne peuvent être totalement souples dans le lit, comme les personnes corpulentes ou les femmes enceintes. Mais la position du tendre amant conviendra aussi et surtout à tous les couples, tant qu'ils restent unis dans l'amour.

L'herboriste
Avec le retour du soleil, rien de tel qu’une promenade à la campagne pour avouer son émoi ! Si vous aimez contempler la nature en plein épanouissement, ne perdez pas la délicieuse occasion de découvrir aussi les agréments du sexe au grand air !

Parfois, lorsque l’on n’a pas encore eu de relation sexuelle avec son ou sa partenaire, il est plus facile de se trouver hors des murs d’une chambre, pour se livrer à un premier coït réussi : cela évite l’appréhension, voire la peur, que provoque chez certain(e)s l’enfermement avec l’être qui l’attire sexuellement ! Pour les couples, qui ont déjà goûté ensemble les joies du sexe, une sortie champêtre renouvelle plaisamment les jeux érotiques.[/font]
Avatar du membre
Jodhaa
Messages : 8
Enregistré le : 10 févr. 2009, 18:51
Contact :

Re: le kama sutra de notre grossesse

[font=Comic Sans MS]Lors de certaines pratiques sexuelles, la femme présente son dos à son partenaire. Si la levrette est la plus connue, il en existe de très nombreuses. Découvrez sans attendre ces variations qui permettent de pimenter votre vie sexuelle.

L'arc-en-ciel
La posture de l’arc-en-ciel est bien moins relaxante que d’autres postures latérales. Elle exige, en outre, une attention particulière pour la réaliser ; mais une fois en place, quel spectacle !

Si vous disposez d’un miroir au-dessus ou devant de votre lit, vous en apprécierez la chorégraphie ; la complexité dans l’imbrication des corps de l’homme et de la femme en fait une posture sculpturale ! La femme se couche sur un côté, les jambes allongées. L’homme, sur le flanc également, se glisse entre les cuisses de la femme, tête bêche, jambes tendues. Sa partenaire a maintenant une cuisse appuyée sur la hanche de son amant, l’autre jambe reposant sur la couche.

L’homme pénètre la femme, jambes serrées ; il replie son buste, de sorte que ses mains peuvent s’agripper aux épaules de sa compagne, pour la maintenir et la caresser. Celle-ci attrape les pieds de l’homme ou ses chevilles, et les tire vers elle : dans cette position, appelée aussi “l’arc bandé” l’homme est l’arc, la femme est la flèche.

L'étreinte du panda
Pour s’unir dans cette étreinte, la femme et l’homme s’allongent de tout leur long sur le côté, en se faisant face, mais en tête-bêche, le visage de la femme devant les jambes de l’homme, et inversement. Une position très riche de sensations.

Quand elle est suffisamment excitée, quand son vagin est bien lubrifié et permet la pénétration, la femme replie ses jambes : glissant l’une sous le corps de l’homme et passant l’autre au-dessus, elle enserre le bassin de son partenaire et se fait pénétrer en se collant contre lui.

Jouir de la vue et des caresses: L’homme a alors sous les yeux les fesses de la femme, bien écartées, et laissant admirer l’anus et la vulve. Ses mains sont libres pour une grande variété de caresses qui n’oublieront pas les hanches ni les cuisses. Si la femme en manifeste le désir, ou la curiosité, l’homme peut pénétrer l’anus avec un doigt : les relations nerveuses très étroites entre les fibres musculaires du sphincter de l’anus et celles des muscles de l’entrée du vagin font que l’excitation des unes se transmet aux autres et en multiplie les réactions. C’est pour cette raison qu’une telle pénétration double procure souvent des orgasmes plus intenses à celle qui a appris à jouer avec les excitations multiples.

La balançoire
Dans la posture de la balançoire, la femme, au-dessus de l’homme, lui tourne le dos. Celui-ci, en position assise, étend les jambes en les écartant légèrement, incline le buste vers l’arrière en s’appuyant sur ses mains placées derrière lui, bras à peine fléchis. La femme s’agenouille sur lui, les jambes repliées de part et d’autre de ses cuisses, et guide d’une main le pénis vers l’entrée de son vagin.

Durant le coït, les deux partenaires jouent lentement de déhanchements et de coups de reins, imitant ainsi le mouvement que l’on fait pour se balancer ; la femme le buste incliné vers l’avant, les mains se cramponnant aux cuisses de l’homme, accompagne naturellement ses coups de reins de roulements d’épaules, offrant ainsi le spectacle charmant de l’ondulation de son corps.

A chaque fois, qu’elle s’incline, elle entraîne le pénis qui va et vient dans son vagin. Les mouvements de l’homme sont restreints, et se limitent à soulever légèrement le bassin, tout en fléchissant les jambes pour accompagner son balancement ; de ce fait s’exerce une pression de son pubis contre celui de la femme, provoquant chez les partenaires une excitation des plus agréables. La femme peut se redresser, se pencher à nouveau, se laissant porter par ses propres sensations.

Étant donnée sa position, elle ne peut compter sur le regard pour mesurer l’intensité du plaisir de l’homme ; cependant, elle est guidée par ses gémissements ou ses râles de plaisir, ainsi que par la raideur de sa verge. L’homme, ayant besoin de prendre appui sur ses mains pour maintenir l’équilibre, ne peut exprimer son amour par des caresses : le caractère spécifiquement sexuel du rapport entre les deux amants accentue leurs perceptions, qui se concentrent sur le bas-ventre, devenu l’unique source de jouissance.

La belle endormie
Tandis que sa maîtresse dort, c’est un bonheur pour l’amant de ressusciter son sexe au plaisir ! Pour celle qui s’éveille, quelle surprise délicieuse de se sentir inondée de désir, ou même le corps déjà envahi par son amoureux !

Il faut avoir connu l’insomnie amoureuse, pour comprendre à quel point le corps de l’aimée endormie exalte le désir physique de celui qui l’observe. Alors que la femme s’est assoupie, épuisée de plaisir (ou simplement après une journée fatigante), l’homme, tenu éveillé par l’excitation sexuelle, éprouve l’envie de jouer avec le corps de sa maîtresse. A moins que la rejoignant tardivement au lit, il s’émerveille de son corps abandonné au sommeil. Pas de précipitation, surtout ! Même si son pénis dressé est prêt à la pénétrer, il se garde de brusquer sa partenaire ; retenant une jouissance hâtive, il savoure le spectacle de ce corps alangui. Il stimule lentement le sexe féminin avec la bouche ou la main humide de salive ; il goûte chaque recoin intime de la femme : les petites lèvres, le clitoris qui gonfle sous ses caresses, la tendre peau périnéale. Il promène délicatement sa langue sur la vulve qui s’échauffe et rougit, la glisse jusqu’à l’anus. Même si elle ne s’éveille pas encore, la femme s’ouvre déjà au plaisir.

La chaise à bascule
Comme sur une chaise à bascule, le point d'équilibre est difficile à trouver dans cette position sexuelle. C'est en même temps tout l'intérêt des deux amants, qui apprennent ainsi à perdre le contrôle et à s'abandonner au plaisir.

La femme, courbée en avant, est dans une posture demi-assise, jambes écartées. Elle tient les pieds de son partenaire pour ne pas tomber. Elle est de dos à l'homme, qui la maintient entre ses bras. Les amants peuvent ainsi garder l'équilibre sans pour autant véritablement favoriser la pénétration. Car, dans la position de la chaise à bascule, c'est à la femme assise de prendre les rênes. Elle guide la pénétration et sa vitesse. Si, néanmoins, elle a plus d'ampleur de mouvements que l'homme, elle ne peut pour autant utiliser ses propres mains. Monsieur, lui, profite de la vue du dos de sa partenaire pour l'embrasser partout.

Une façon de découvrir des parties du corps qu'on perd vite l'habitude d'explorer. Pourtant, le dos peut être une zone érogène si l'on s'y consacre assez bien. L'homme peut également faire en sorte de remonter quelque peu en modifiant la position pour atteindre la nuque de la femme. Il peut tenir, suspendre ou maintenir sa partenaire de ses deux mains, et relâcher de temps en temps pour lui caresser la taille, les jambes ou les seins Cela permettra de donner du coeur à l'ouvrage à la femme, qui doit se charger de donner du plaisir aux deux partenaires à la fois.

La déesse aux cheveux longs
La détente est au rendez-vous. L'homme, allongé sur le dos, reçoit sa partenaire sur son propre corps. Celle-ci s'appuie sur ses coudes, au-dessus des épaules de son amant. Elle replie ses jambes et pose délicatement ses pieds sur les genoux de Monsieur. La pénétrant, il engage le mouvement de va-et-vient en tenant sa partenaire par la taille. La femme, au même instant, soulève et redescend son bassin en réponse aux assauts de l'homme qui sait la satisfaire.

C'est une évidence, mais la position de la déesse aux cheveux longs nécessite donc une parfaite coordination, digne des pratiques tantriques. Chevauchant son partenaire, Madame peut, en toute impunité, laisser ses cheveux s'agiter sur le visage de Monsieur. Le parfum et la douce sensation de caresse raviront l'homme. Il pourra alors toucher sa partenaire et aller jusqu'au clitoris. Des variantes de la déesse aux cheveux longs peuvent enfin naître selon la position des jambes, écartées ou non, des deux partenaires, laissant ainsi chacun éprouver de nouvelles sensations. Madame saura également choisir d'arrêter son mouvement, laissant l'homme avoir le contrôle. Et vice et versa, la femme pouvant servir de guide. Chacun varie alors la vitesse, le rythme ou la profondeur de la pénétration.

Quelques petites précautions, cependant. La position de la déesse aux cheveux longs est déconseillée aux femmes souffrant de problèmes de dos. Les ardeurs de son amant, ou les siennes, peuvent provoquer quelques dégâts. Sans être trop brusque ni trop rapide, cette position se pratique en toute sérénité, en prenant le temps de découvrir de nouvelles sensations. Un mouvement maladroit, et c'est le sexe de l'homme qui sort du vagin, interrompant inopinément la progression de l'orgasme. Dans ce cas-là, pas de souci : oubliez donc la déesse aux cheveux longs, et laissez Madame reprendre sa place sur Terre. Elle pourra ainsi se reposer en se retournant complètement, et évoluer vers une posture sur le ventre, où elle saura reprendre des forces et apprécier paisiblement les efforts de Monsieur.

La grenouille à la nage
Dans cette posture, la femme tourne le dos à l'homme comme dans la levrette. Prenant appui sur ses coudes, les mains croisées derrière la nuque, les seins en contact avec le matelas, la femme dresse ses fesses. Son dos se cambre naturellement. Ses cuisses sont largement écartées, ses jambes reposent à plat sur la couche. L'homme s'agenouille entre ses cuisses, guide son pénis dans le vagin et appuie fortement ses mains sur les omoplates de sa compagne. Les mains des deux amants peuvent s'unir. La femme, dont le vagin est béant, grâce à la position des cuisses, croise alors ses jambes derrière les cuisses de son amant : le vagin se resserre sur le pénis, communiquant à l'homme une sensation d'étranglement fort troublante. Lors des ébats, celui-ci va devoir alors prouver la souplesse de ses reins ! Car dans cette posture, le buste de la femme étant immobilisé, c'est l'homme qui remue simultanément leurs deux bassins et exerce les mouvements de va-et-vient.

La mystérieuse entrevue
La mystérieuse entrevue porte en elle les germes d'un fantasme à réaliser. On peut s'imaginer devenir quelqu'un d'autre, prendre une autre identité pour jouer à un jeu érotique très excitant. Les amants, sans vraiment se voir, peuvent se laisser aller à une imagination des plus débordantes.

Praticable n'importe où, à n'importe quel comment, la position de la mystérieuse entrevue nécessite seulement que les partenaires soient debout, la femme dos à l'homme, dont le ventre se presse contre son dos. Elle peut plus ou moins incliner le bassin afin que la verge la pénètre. Pour pimenter le tout, pourquoi ne pas jouer à se déshabiller en vitesse pour une séance de sexe express ? Ou porter un costume pour ainsi mieux rentrer dans un rôle (la soubrette, le gentleman, l'espionne, le policier...) ? Et pour les couples adeptes de sodomie, cette position sexuelle est idéale.

Ainsi unis, l'homme et la femme ont également le choix de ne jouer que leur propre rôle mais, à l'instar des films érotiques, peuvent aussi placer un miroir en face d'eux. Se voir ainsi dans l'intimité la plus profonde permettra aux amants de jouer avec leur corps, leurs regards et leurs sensations. Car, même si la position de la mystérieuse entrevue impose un contact très rapproché, la vision s'en retrouve bloquée. Surtout si la femme s'appuie sur un mur ou autre, cachant alors à son partenaire ses seins et son sexe. La différence de taille est aussi un inconvénient qu'il faudra pallier grâce à un coussin ou un tabouret. La femme peut également porter des talons si elle est beaucoup plus petite que l'homme.

Malgré quelques défauts, la position de la mystérieuse entrevue est néanmoins parfaite pour apprendre à connaître l'autre. Monsieur sera très excité par la pénétration et Madame, si son clitoris n'est pas stimulé, pourra néanmoins être titillée par son point G. Chacun a l'entière liberté de ses mouvements et de ses mains et peut choisir de caresser n'importe quelle partie du corps de l'autre.

Peu fatigante, très excitante et propice au jeu érotique, la mystérieuse entrevue est finalement une position très agréable, à pratiquer dès que l'envie vous prend. A l'extérieur ou en privé, c'est maintenant à vous de choisir.

L'approche du tigre
Pour cela votre terrain de jeux ne se limitera pas à la chambre à coucher ! Le "tigre" et la "tigresse" jouent avec leur désir réciproque, se dérobent, ce qui ajoute du piment à la relation érotique. Une table, un fauteuil, forment parfois un rempart amusant entre les amants !

Lorsque enfin ils s'embrassent, les langues se mêlent et s'aspirent, fouillent les gosiers. Les mains ne caressent pas : elles griffent, sans avoir besoin pour autant de laisser des traces durables. L'ongle de l'index peut dessiner légèrement son parcours sur le dos, les épaules ou le ventre. Puis les doigts se rassemblent et gravent plus profondément dans la chair leur itinéraire : du visage au sein, des hanches aux fesses. Les griffures, sur le pénis ou le mont de Vénus doivent être légères, de façon à ne pas blesser. Prenez le temps de vous observer, avant de continuer le jeu. Il est encore trop tôt pour la pénétration.

La femme, en refusant à son partenaire l'accès de son sexe, l'excite davantage. Dans l'attente du pénis, elle sent se contracter son clitoris, et se prépare au plaisir. Son vagin se dilate et se lubrifie par lui-même, son corps impatient se parfume de l'odeur particulière au sexe. Debout, assis ou couchés, l'empoignade est passionnée : chacun défend son corps et l'offre à la fois !

Le cheval renversé
La femme peut chevaucher l’homme couché sur le dos, et, au lieu de lui faire face comme dans la position d’Andromaque, lui tourner le dos : elle s’assied sur son ventre tout en guidant la pénétration, et celle-ci peut être très profonde.

La femme a le choix de rester ainsi, le buste vertical, les mains libres pour caresser les testicules de son partenaire, ou l’intérieur de ses cuisses. Elle-même se laisse caresser le dos, les hanches, les fesses. Des mouvements légers de redressement sur les cuisses soulèvent son tronc et provoquent un va-et-vient du vagin le long de la verge.

Elle peut aussi se renverser en arrière, prenant appui sur ses deux bras, les mains de chaque côté de la tête de l’homme, les cuisses plus ou moins relevées : l’homme peut ainsi caresser plus facilement sa poitrine, son ventre, son clitoris, afin d’accompagner le rythme de son excitation.[/font]
Répondre

Retourner vers « La sexualité »

  • Informations
  • Qui est en ligne

    Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité