Salut les files!
Bonne année déjà (j'avais oublié, pour ces fêtes ci j'avais pas du tout la tête à ça!
), que tout aille bien pour vous et vos enfants
Hélène: très mimi Gabrielle!!
Romain, qui est le plus proche en âge dans les bébés de notre groupe, a commencé les sourires aux anges au début des vacances de Noel, vers 3 semaines et là depuis quelques jours, on a eu des sourires volontaires car yeux ouverts et nous regardait.
C'est en particulier quand on fait des pitreries avec son doudou, il aime bien
Pour l'accouchement, en fait, je disais plutôt ça pour la situation d'Audrey, où apparemment il n'y avait ni antécédents (pas de césarienne antérieure ou accouchement très difficile), ni gros problème car moi, on m'a dit que perdre un peu de sang à certains stades de l'accouchement, ce n'est pas très grave.
Je serais aussi allée à la mater, pour contrôler, ça c'est sûr, là dessus elle a bien fait, c'est plus prudent.
Par contre, ce que je n'approuve pas c'est l'attitude du gynéco: autant pour toi, Hélène, avec un rythme cardiaque foetal inquiétant et un antécédent de césarienne, on comprend bien les risques et l'action immédiate, c'est d'ailleurs à ça que servent les progrès de la médecine, à ce genre de cas, autant pour Audrey où il n'y avait ni urgence vitale, ni antécédents complexes, pourquoi poser un ultimatum?
De ce que je sais, ça ne fait pas partie des cas de déclenchement ce qu'elle a eu, donc bon, d'où mon avis que c'était par convenance personnelle ou pour "ouvrir le parapluie" qu'il a agi comme ça, et aussi p-e parce que pour eux c'est plus simple un accouchement avec péri, c'est pas sport, c'est en position gynéco et c'est une femme toute endormie, pas une qui bouge et crie comme moi sans péri...
Ah oui c'est sûr, poser la perf c'est plus compliqué, les cris ça fait mal aux oreilles et c'est plus compliqué de gérer la poussée hors position gynéco, ils ont peur, ils ne sont pas habitués...
Bref voilà mon point de vue: je dis bravo aux médecins quand ils agissent vite et bien en cas de problème grave ou si la maman ou le bébé ont des antécédents (malformation détectée, bassin trop étroit etc), mais j'ai tendance à voir l'abus dans le reste des cas, c'est à dire une immense majorité.
Voilà mon avis
Moi, j'ai eu deux super accouchements, donc c'est sûr ça met en confiance et j'ai l'expérience rassurante de ma mère et de ma tante, deux ferventes militantes de l'accouchement naturel avec moi, qui ont eu de gros bébés avec un maousse périmètre crânien, ma mère ça s'est fini en épisio, ma tante même pas! Mais elle n'a pas regretté pour autant, ma mère.
Malgré sa fièvre, malgré la douleur (car accouchement déclenché, aucune contraction après avoir perdu les eaux), elle a refusé la péri, je faisais 3,910kgs et elle a eu bien du courage
Ma tante était dans un hôpital anti accouchement naturel (ma mère avait plus de chance car petite clinique "nature"), une grosse usine à péri, justement, et on l'a bassinée toutes les 10mn: ah mais il est gros ce bébé, la tête ouh là là, prenez la péri mme...
Et de la menacer avec les pseudo risques, les pourcentages de forceps, etc...
Elle a refusé tout en bloc, les a envoyé se faire voir et elle a eu bien raison car aucun problème, il est passé!
C'est pour ça, j'ai du mal à croire qu'il y ait tant que ça de situations à risques...
Il y en a, bien sûr, comme pour toi, mais dans les autres cas, abus, facilité???
"Madame si vous accouchez un mardi à 14h, ce serait tellement mieux qu'un dimanche à 1h du matin, c'est pour votre santé vous comprenez?", là au moins ce serait clair
Dans certaines cliniques privées, les gynécos touchent des primes s'ils sont là au moment où il faut attraper le bébé, et pas des plus minces, et j'ai déjà entendu des histoires du genre "attendez pour pousser" car justement le gynéco n'était pas là et allait rater la prime si attendue...
Donc p-e aussi qu'il pensait tout bonnement à la fin de sa garde..
Je sais, je vois tout sous cet angle car mauvaises expériences avec certains médecins notamment en hôpitaux
Pour l'allaitement, c'est la fatigue qui me guide vers ce choix, et puis c'est vrai que le sevrage va de pair, pour moi en tout cas, avec la reprise du boulot.
Et je ne veux pas avoir une semaine montre en main pour le sevrer, donc je préfère prévoir large et penser aussi aux vacances de février avec le grand, où j'aimerais bien ne plus avoir la contrainte de la tétée à n'importe quelle heure, qui est imprévisible et empêche toute sortie...
Pour le lait, je préfèrerais aussi le lait maternel, mais mon copain n'est pas pour, je ne comprends pas trop pourquoi, il parle d'hygiène et je pense qu'il veut pouvoir faire aussi le biberon sans que je tire mon lait obligatoirement avant.
De toute façon, Romain aura du lait premier âge artificiel car je n'aurai pas le choix à la reprise du boulot: je ne vais pas emmener ma glacière à 6h du mat chez la nounou ou à la crèche, ce serait un peu contraignant tout de même, et puis la lactation ne se maintient pas en ne faisant que du tire lait, j'ai expérimenté ça pour mon premier.
Si on me disait que c'est possible sans jamais se tacher au travail (je reçois du public, la honte si j'ai une grosse tache ou si je sens le lait caillé et je ne peux pas aller me changer n'importe quand de coussinets, certains entretiens durent 1h...), et qu'en plus la lactation pouvait se maintenir juste avec une tétée le soir, ok.
Mais apparemment, selon la leche league, il faut 3 tétées minimum par jour pour maintenir donc c'est impossible pour moi: déjà le matin vu la course que ce sera, pas le temps de donner la tétée, un bib ce sera déjà bien assez long comme ça, et quid de la 3ème tétée? Je ne rentre qu'à 18h30 voire plus en cas de problèmes de RER alors...
Bref, je pense que ce n'est pas possible en pratique, ni de me trimballer une glacière en RER si jamais il a une place en crèche sur Paris ou même sur tout un trajet incluant l'école du grand, par exemple, et puis après je la laisse où la glacière??
Pas très réaliste ni pratique..
Donc oui, je vais tenter de faire en partie du lait maternel, surtout en journée, mais il faudra bien aussi qu'il s'habitue au lait artificiel. Je me souviens que le grand, sevré brutalement à 13 jours (pas eu le choix) a bien accepté le biberon, sans soucis particuliers, mais par contre il détestait le goût du lait artificiel, donc là j'ai peur que si je l'introduis seulement pile poil au moment où je reprends, ça se passe mal.
Et puis je rêve d'une bonne nuit de sommeil et comme il est très glouton, il sera p-e plus calé avec un bib de lait artificiel, donc la nuit, avantage!
Voilà mes raisons, et je ne pense pas que ce soit si mauvais que ça pour régurgitations et coliques, avant tout il faut un bon biberon: un biberon tout pourri de supermarché style tétine ronde à 3 vitesses où même la 1 est super rapide et sans aucun dispositif au fond du biberon pour limiter l'air, un biberon trop grand, et le tout avec le lait le moins cher, bourré d'huile de palme, là y a des risques, mais moi je lui ai pris le meilleur lait artificiel, bio, sans huile de palme ni de coprah, et surtout un biberon Dodie qui est fait exprès: avec tétine plate "suite d'allaitement", en silicone, surtout pas en caoutchouc et avec un anneau anti coliques au fond, et une tétine à débit unique 1 et je sais qu'il est vraiment lent pour cette marque (mon premier avait du mal à boire, et on m'avait conseillé cette marque, très bien en effet).
Le lait est aussi adapté, c'est un lait "relais allaitement" donc plutôt digeste normalement.
Mon grand a été au bib à 13 jours, il a toujours beaucoup régurgité, que ce soit au sein ou au biberon, ça n'a rien arrangé mais c'était pas pire non plus, et il a eu des coliques, mais pas énormément, et je sais que le fils d'amis de mon copain, allaité 1 an, en a eu lui aussi et Romain a d'ailleurs eu déjà des crises alors qu'il est allaité.
Bref je pense que c'est pas automatique les inconvénients, ça doit dépendre des bébés
Biz
